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1 mars 2013 5 01 /03 /mars /2013 14:04

comptable-2.jpg

What does it take to run a successful business? There are many of traits but let's touch on a famous key ones. ROI is a calculation of the profitability of the investment. Most of marketers, CEO want what is promised and predictable. On the other side, the Brand Manager usually goes with the ROO. Return on Objectives make succesful brands. For your target audience to remember you, you must be out there consistently with a lot of back and forth in what you do. A least 8 times within a year to remain top of mind with your audience. So, to satisfy your CEO with sales figures, don't come with a ROI strategy when you draw a new calculation of event/exhibit but with measurable objectives. Quality always win.  Is your new event would make sense for your audience? Give your public a real benefit for connecting with you one more time again. It doesn't matter if your brand hits the most like in the facbeook page. It's up to you to lead why they like you. In all-ways. Always. There is no such thing as being too connected to your target audience. And your CEO would understand that customers are the decision-makers to change your sales figures. 


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10 janvier 2013 4 10 /01 /janvier /2013 15:30

birds sign

ATTENTION. Ici vous allez adorer. Pour tous ceux et celles qui aiment sortir des clous et mieux se connaître, voici un un extrait des 12 profils de BRAND YOU, signé par John Purkiss et David Royston-Lee. 

Nous avons 12 profils que l'on utilise inconsciemment dans nos relations de travail. Ces multi-facettes se conjugent au pluriel bien sûr dans notre personnalité en mille-feuilles.

Mais lorsque vous voulez mettre le paquet d'emblée lors d'un entretien clé, voici de quoi vous amuser.

D'abord 12 profils. 

  • The Caregiver, l'altruiste (le consultant cabinet de recrutement par ex)
  • The Creator, (Steve Jobs)
  • The Explorer, besoin d'être pionnier (l'entrepreneur par exemple)
  • The Hero, besoin d'être spécial (le manager par exemple)
  • The Innocent 
  • The Jester/Le fou du Roi 
  • The Lover
  • The Magician
  • The Ordinary Guy/Girl 
  • The Outlaw/ Le Rebel
  • The Ruler
  • The Sage

Chaque individu au travail quel que soit sa position hiérarchique ou la taille de son EGO navigue dans ses eaux là en simultanée mais très souvent utilise 2 ou 3 facettes plus régulièrement. C'est ce qui caractérise son trait. Par exemple, un RULER vous agacera avec son air Bossy. Un Magician vous promettra du changement radical alors que rien n'est conçu ainsi dans une entreprise. Un Hero sera plus arrogant car il a explosé ses objectifs de vente. Et un Caregiver sera le seul qui vous donnera un conseil qui tombe a pic. Pour le Jester souvent, c'est celui qui ne sera jamais considéré mais qui restera le plus longtemps dans l'entreprise car connaît le jeu par coeur du manège enchanté (management moderne). Tourni coti, t'es là, t'es plus là :)

Maintenant, que vous avez repéré vos collègues et vous-mêmes, vous pouvez grossir le trait pour alimenter le poids de votre charisme et de votre persuasion.

Mais c'est ici que le branding prend toute son importance. L'habit fait le moine. Donc si vous êtes un RULER et que votre code vestimentaire ressemble à MAGNUM et ses chemises fleuries...Vous perdez du poids en crédibilité. Si en plus, les mots que vous utilisez sont mielleux ou comme on le dit ici in Singapore milky...vous aurez du mal à vous faire respecter.

Alors, pour renforcer le trait, choisissez 2 facettes seulement et soyez consistent dans la durée. C'est la répétition qui vous rendra mémorisable...Habillez-vous selon l'archétype que vous incarnez. Ainsi, vous renforcerez votre trait.

Imaginons que vous soyez au marketing. Votre style sera impeccable, qualité du tissu et talons pour vous démarquer. Les tons seront sobres avec un petit détail coloré, le foulard ou la pochette banchouille de votre Ipad...

Pour ce qui est de Steve Jobs, sa panoplie "jean-col roulé noir et basket" étaient exactement taillés pour lui car c'était un Creator/Outlaw. Donc sa tenue renforcait son charisme et le message qu'il incarnait. 

 


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15 juillet 2012 7 15 /07 /juillet /2012 04:17

dilibert presentation

 

A notre époque, la Slidology est un art qui touche tous les métiers. Que vous soyez Ingénieur en traitement des eaux usées ou Directeur de clientèle d'une agence de pub, la qualité de votre pitch est un critère décisif pour convaincre et vendre votre projet en 30 minutes.

Si vous pensez que PowerPoint est une affaire de gros titres et d'un logo au coin de chaque page, alors, vous avez tout loupé. PowerPoint n'est pas une matrice pratique qui se lit avec des bulletspoints.  

Je pratique la Slidology sous un autre angle de persuasion : avec la technique du Snapshot.

1 seul message, répété plusieurs fois de manière instantané comme un Post it, zoomé avec la même rapidité qu'un appareil photo digital. Maintenant si vous voulez convaincre en quelques minutes, alors lisez attentivement ce qui va suivre. Je mettrai en ligne un exemple de PREZ en anglais très prochainement.

Alors, en attendant, s'il vous plaît, changez votre PowerPoint. Utilisez la technique. Et si vous travaillez sur Mac, choisissez Keynotes. Largement supérieur.

 

Commençons par le début.

Une PREZ n'est pas faite pour vous. Mais pour celui qui va l'écouter. Votre PowerPoint, projeté ou non sur grand écran, doit être la plus mémorable possible. Vos textes ne doivent pas se lire au mot à mot comme la B.D qui est présenté au haut du post. I love Dilibert.

To keep in mind. Ce n'est pas PowerPoint qui doit marteler votre présentation. C'est vous qui devez vous servir de PowerPoint.


Ensuite.

Cessez de remplir vos pages avec pleins de textes. Si, en plus vous mettez des bulletspoints partout, alors votre audience ne vous écoutera plus, mais se mettra à prendre des notes. Si, c'est le cas, vous avez encore loupé. Une bonne présentation est faite pour s'entendre. Tout passe par la voix, les mots que vous aurez choisi et la manière dont vous en parler. 


To keep in mind. Ne lisez pas votre PowerPoint. Séquencez vos mots clés et éparpillez les en GROS et en GRAS. C'est la technique du Snapshot. Votre public doit enregistrer ce qu'il vient d'entendre par un clignotement d'un oeil. Savez-vous que le clignotement de votre oeil permet d'enregistrer le message dans votre cerveau ? Hey oui. La synergologie est un sujet qui me passionne aussi.


Donc, n'écrivez pas sur votre slide comme vous le faites sur un doc Word. Ecrivez d'abord sur papier ce que vous voulez dire. Ensuite coupez dans le gras. Prenez l'idée clé et gardez le fil rouge pour construire enfin votre présentation sur PowerPoint. Laissez tomber vos vieilles habitudes. Viser tout de suite le Less is More.


Extrêmement important.

Le cerveau de votre public décroche au bout de 10 minutes. Il cherchera à se distraire. Si au bout de 10 minutes, vous gardez la même cadence alors encore une fois, vous avez perdu. 

Cassez le rythme avec de la vidéo, une anecdote personelle ou un échange amusant avec eux. Une image improbable en transition peut faire sourire votre auditoire. Profitez-en pour relancer la concentration de votre public toutes les 10 minutes.

L'utilisation de visuels est primordial mais le visuel ne doit pas être le message central. Un bon visuel doit encapsuler la mémorisation du message.

 

Et Enfin.

Chaque slide doit comporter un seul message et être traité comme une "infotainment". Un éclairage facile à comprendre et léger à digérer. N'oubliez pas la technique du BBQ statement. Nourrissez-les avec des idées enthousiastes à partager comme si vous étiez entre copains.


Et en dernier.

Commencez tout de suite par le meilleur dès votre introduction. 

Séquencez votre Prez en 3 points seulement. 

Et prévoyez un moment spécial en fin de votre présentation. Révélez votre projet, votre créa, votre concept... Déclenchez le moment fatal, le frisson pour votre public.

 

Pour résumer. Laisser tomber PowerPoint. Utilisez votre voix, votre charisme, votre manière unique de voir la solution et dérouler votre idée centrale. Rappelez-vous une seule chose.


Soyez simple et aller droit au but. Faites du Snapshot !



















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10 octobre 2011 1 10 /10 /octobre /2011 05:00

livre_effetwhuffie_achat.jpg

L'effet whuffie est un livre qui se dévore d'une seule traite. Pour commander la traduction française du livre, cliquez ici linkTara Hunt nous raconte comment nous pouvons tirer parti de la puissance des réseaux sociaux pour développer notre business avec simplicité et authenticité. La célèbre Tara est venue à Paris le 6 décembre 2010 invitée à la soirée exclusive d'HEC au féminin. A lire pour tous les patrons.

Copyright photo Christophe Malo.link

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7 octobre 2011 5 07 /10 /octobre /2011 14:23

differents-types-de-questions.jpg

Si vous devez entretenir des relations étroites avec vos prospects, vos clients, votre équipe, voici les techniques de questionnement directement traitées dans le livre STRATEGIE, les clés du succès concurrentiel.


En fonction du degré d'appartenance de votre interlocuteur sur "la pyramide du refus", les questions sont à moduler : questions ouvertes, miroirs etc..

Dans un autre post, vous aurez la modélisation d'un autre schéma pour répondre aux questions stressantes, très pratique en media training.


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7 octobre 2011 5 07 /10 /octobre /2011 12:36

pyramide

La "pyramide du refus" permet de visualiser les différentes raisons du refus et de la résistance des individus. Une fois le diagnostic établi, le consultant peut prévoir un plan d'action dans la conduite du changement, un thème très porteur en communication.

 

Cette approche trouve tout son intérêt également dans le déroulement d'un entretien en face-à-face avec un client. Le consultant pourra mettre en oeuvre les techniques de questionnement pour faire s'exprimer son interlocuteur ou pour lui faire développer les réponses obtenues ou enfin pour l'orienter vers certaines réponses en utilisant des questions de nature différentes en fonction des buts poursuivis. Avant de vous modéliser le schéma (dans le post suivant) voici d'abord, un éclairage intéressant pour les patrons, les managers, les consultants et tous les entrepreneurs.


Extraits du livre Stratégie, les clés du succès concurrentiel, signés par Jean-Marie Ducreux, diplômé de l'ESCP et titulaire d'un MBA de Columbia University et de Maurice Marchand-Tonel, major d'entrée et de sortie HEC Paris, MBA de Harvard, le texte est retranscrit ci-dessous :


  • La première d'entre elles est le manque d'information ; l'individu ne sait pas, il connaît peu ou mal la nature du changement, les objectifs poursuivis ne lui ont été présentés ou il les a mal compris, il ignore tout des moyens mis en oeuvre...ce manque d'information "Je ne sais pas" entraîne un manque de motivation et un découragement ; Manque d'information.


  • Si l'individu a une bonne connaissance du projet considéré, il peut en mesurer l'impact sur lui, ce qui enclenche la crainte de pas être à la hauteur ; il est alors dans un mode "Je ne suis pas capable de" ; Manque de compétence.


  • Enfin, et c'est la situation la plus difficile, l'individu ne veut pas parce qu'il n'y voit pas son intérêt ou n'y croit pas. S'il n'y voit pas son intérêt, le blocage est de nature rationnelle. S'il n'y croit pas, le blocage est de nature émotionnelle ; Manque d'intérêt.

 

Ces attitudes génèrent trois types de déficit d'appropriation, susceptibles d'entraver le changement :


- Un déficit de motivation : " on n'a pas envie " / le but est d'impliquer et d'expliquer 

- Un déficit de savoir-faire : " on ne peut pas " / le but est d'expliquer et former

- Un déficit d'adhésion : " on n'y croit pas " / le but est de négocier

 

Au regard de cette nouvelle pyramide, plus pragmatique que la pyramide célèbre de Maslow, votre prise de parole sera mieux orientée à la fois dans vos outils de communication et dans vos relations managériales.

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7 octobre 2011 5 07 /10 /octobre /2011 02:44

 dominos_250x251.jpg

La vente de services se fonde sur la promesse que le client va percevoir. A l'inverse de la vente d'un produit, l'objet de l'échange ne peut être mesuré ou testé avant l'achat. Pour le client, le contrat signé portera sur le bénéfice que cela va lui apporter. Et plus le service est délivré dans un lieu réel, plus le transfert émotionnel agit et plus facile est la prise de décision. L'effet domino décrit bien ce que l'entreprise à offrir. Un service de base et des services différenciants qui vont cimenter la vision globale de la qualité du service pour le client utilisateur.


Quand la concurrence est forte, le service différenciant deviendra communicable.


Pour un cabinet de conseil par exemple, le CV des consultants sera l'expression du sérieux des compétences engagées.


Pour une société de services aux entreprises, la réactivité d'une structure courte facilitera la transaction à l'échelle du sur-mesure. 


Pour une agence de communication, la performance s'affichera par la tenue d'un portefeuille de marque réputé.


Et enfin pour un cabinet de recrutement et de coaching, l'engagement de résultat sera bien sûr élémentaire mais le mode de facturation sera plutôt une promesse de taille.


Le risque d'erreur fréquent est donc de se limiter à la réponse d'un besoin exprimé et attendu par le client. Ce qu'il retiendra plus ouvertement, c'est la combinaison de services qui ne seront pas facturées en sus : votre agilité comportementale, votre tact relationnel, votre motivation personnelle à résoudre, votre éthique, le choix de votre décoration dans votre bureau, les lieux de rendez-vous, le poids des échanges mails.


Bref, cette fameuse "zone de confort" pour votre client est un indicateur pour  vérifier constamment s'il a fait le bon choix avec vous. Le degré de contact avec vos clients permet la personnalisation et l'authenticité du service rendu. 

 

Voici une liste d'indicateurs pour mesurer la satisfaction et la performance perçue par vos clients.

A faire vite fait pour voir si tout est en ordre.


  • Réponse précise au besoin premier de votre client 
  • Adaptation du service au besoin complexe de votre client
  • Prise en compte des préconisations du client
  • Aptitude à clarifier la problématique avec une valeur perçue pour le client
  • Aptitude à diagnostiquer la situation problème du client sans tomber dans la banalité de vos explications
  • Prévision des modalités de mise en oeuvre
  • Capacité à résoudre un problème survenu pendant la mission
  • Rapidité de réponse aux demandes d'informations ou de conseils demandés en surplus
  • Qualité de votre documentation commerciale ou techniques
  • Capacité d'évolution du service pendant les 6 derniers mois
  • Capacité d'innovation 
  • Formalisation des outils (contrat, clause, devis, annexes)
  • Simplicité d'utilisation du service 
  • Aptitude à conseiller et à sécuriser votre client
  • Respect des délais et ponctualité
  • Exactitude des résultats obtenus et preuves à l'appui
  • Adaptabilité du prix en fonction du contexte économique et social
  • Respect des engagements
  • Suivi et contrôle du service rendu
  • Vérification et évaluation du service intégré pour le client
  • Capacité à terminer une mission 
  • Classification des échanges (e-mail échangés avec le client)
  • Mise à disposition d'autres experts
  • Formation continue mis à jour

 

Et maintenant :


- Quelles sont les 3 attentes les plus fortes, celles sur lesquelles votre client n'accepte aucun défaut ?

- Quelles sont les 3 attentes les moins importantes pour votre client ?

 

Choisissez une échelle de notation (1 peu important à 5 très important) pour hiérarchiser les attentes.




 




 









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3 octobre 2011 1 03 /10 /octobre /2011 19:57

Why-Buyers-Love-to-Delay-Buying-247x300

L'expérience montre que plus votre prospect attend, plus il remettra à plus tard, voir à jamais votre proposition. Aider l'autre à franchir le pas ne s'obtient pas seulement avec des procédés de techniques de vente, même lorsque vous croyez avoir obtenu plusieurs "oui" d'affilée.


La raison pour laquelle votre prospect recule l'acte de décision peut signifier qu'il n'est pas sur votre liste d'abonnés consentants. En d'autres termes, qu'il est juste tombé dans le filet grâce à votre technique commerciale aguerri.


Beaucoup d'entreprises imaginent que prospecter est une affaire de quantité et de conversion statistique. Pourtant, il est préférable de chercher à construire une liste de qualité. Une liste de fidèles qui provoquent l'apport automatique d'autres clients consentants. 

 

Le prospect consentant sera prêt à payer ce qu'il veut si vous êtes positionnés exactement sur son problème. Il décidera plus rapidement s'il a bien compris les causes de ses frustrations et ce, grâce à la qualité de votre diagnostic. Considérez plutôt que chaque minute gagnée ensemble, lui permettra de résoudre délibérément son problème.


Soyez plus court dans vos échanges en posant des questions avec votre discernement expert (à l'inverse du rodage de la vente). La clé de l'aide à la décision est un processus continu : tout au long du chemin mais aussi le cheminement vers le sommet.

 

Bâtir une liste sélective est l'exercice le plus rapide si vous avez au préalable votre comité de prescripteurs et déjà une poignée de clients très satisfaits de votre travail. Je vous donnerai le détail dans un autre post, catégorie Prospection.

 







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28 septembre 2011 3 28 /09 /septembre /2011 14:15

reseaux sociaux

Il y a quelques années, les prospectivistes décryptaient les sociostyles dans un nouvel écrin : celui du comportement et du mode de vie.  "Easy Adopter", "Néorigoriste", "Hypermobile" "Créatif culturel", "Lohas", "Metropolitain" sont l'un des scénarios prospectifs que le planneur stratégique aimait à décrire pour rendre l'achat topographique. Puis, la vague des réseaux sociaux a déferlé. Les "digitals communities" ont impulsé la nouvelle communication. Plus rapide et surtout multi-dimensionnelle.


Le "ici, tout de suite, là-bas, chez moi, au bureau, dans la rue" a compliqué le travail des communicants. Le On est devenu Off en même temps que l'information peut désormais se téléporter, d'un tweet ou d'un like avec la réciprocité de ses membres. 

 

C'est la raison pour laquelle, les marques et les entreprises jettent un sort au Communauty Manager. Il doit démêler l'intrigue tout en restant pluggé à la minute buzz. Animer ainsi les conversations en ligne est un chantier énorme. Opérations commerciales, distribution de contenu, information exclusive, tout s'aspire par l' audience fragmentée. Et tout s'oublie à la minute près. 

 

Avant d'avoir ce "Jedi" là, je crois que le marketing communautaire restera encore un peu dans le four. En attendant que le gâteau finisse sa cuisson. S'il a entre 25 et 30 ans, cette friandise devra en plus se former à l'opinion des consommateurs, à la gestion de crise, à l'ensemble de la communauté du cyberspace et des technologies du futur.


Pour le moment le programme est souvent théorique. Pour maîtriser l'art du dialogue en réseau, il faudra respecter les fondamentaux : l'implication sincère, la transparence et l'audience.

 

  • Si vous voulez créer votre propre communauté, n'ouvrez pas juste une page Facebook. Ca serait trop facile.
  • Commencez par explorer un thème ou une question clé qui attirera l'internaute
  • Observez les conversations, repérérez les critiques, trouvez le bon consensus
  • Détecter les avis informels à explorer de plein pied
  • Passionnez-vous autant au sujet qu'au périmètre d'influence du blogueur
  • Ne louchez pas seulement sur l'audience ou le nombre d'abonnés au flux RSS, plongez-vous dans la discussion, pesez la fréquence des posts et des commentaires

 

Donc, en quelques mots la charte du bon Communauty Manager quand on ne l'a pas encore trouvé en sachet tout prêt.

 

- Ne faites pas semblant d'être fan si vous ne l'êtes pas

- Faites les choses à fond

- Répondez au problème des plaintes

- Soyez réactif

- Accepter la critique

- Fixer des règles en amont

- Patience et persistance

- Filtrer, résumer et clarifier les problèmes en reformulant avec des phrases courtes


Bref, avant de vous lancer dans l'épopée, pensez à la cartographie de votre univers d'influence. Le sous marin jaune le fera très bien pour vous. Voir ici link. Je l'ai rencontré en immersion pendant ma formation il y a longtemps.






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19 septembre 2011 1 19 /09 /septembre /2011 08:19

smileyLa communication et la vente n'irriguent pas souvent le même fleuve. Les uns vont préférer en dire le moins possible tandis que les autres vont utiliser la tactique de l'exhaustivité. Dans la pratique, les postulats se séparent dans l'argumentaire. Faire vendre est le résultat d'une performance de face-à-face. Chacun a sa recette personnelle. Le commercial va s'éloigner de son argumentaire en se profilant au feeling pendant qu'à son tour le communicant aura recours plutôt à la suggestion qu'à l'argumentation.


Que l'on soit grand patron, artisan, ingénieur, politicien, artiste, l'argumentaire doit faire gagner en consistance. Pour atténuer les frictions de deux approches, voici une technique qui pourra faire coïncider le même courant.


Pour éviter de dérouler le tapis rouge avec un argumentaire gratifiant pour l'autre, pensez d'abord au bien-fondé de votre démarrage. Le message clé va redistribuer les cartes. C'est vous, qui déterminerez d'avance les questions éventuelles de votre client ou du journaliste par le choix délibéré de votre angle stratégique.

 

Concrètement, il faudra éviter le discours tiède, les phrases approximatives et la banalité de vos propos. Convaincre ne se limite pas à un seul aller simple, réponses aux questions et validation.

L'argumentaire ne s'inscrit pas dans un menu, entrée, plat, dessert et le café en guise de récompense. Il se place en ouverture. Dans la big idea. Les publicitaires ont longtemps évoqué la copie strategy pour renforcer le pouvoir attractif de la vente d'un produit. Ce qu'il vous reste à faire est ici.

 

  • Fixez-vous un fil conducteur, une idée clé, l'effet d'annonce pour vous imposer d'emblée
  • Adaptez votre message imagé par rapport au profil de votre interlocuteur
  • Apportez la preuve réelle de ce que vous affirmez par des choix délibérés 

 

A l'inverse, les avantages de votre produit ou de votre service ne découleront pas de votre fiche technique. Les bénéfices (la preuve de ce que vous affirmez) serviront à cimenter la force de votre idée (et non du produit).


2 ou 3 preuves suffisent. Si vous rallongez la liste, vous tomberez à nouveau dans l'argumentaire classique.

 

Exemple d'une excellente big idea servant d'argument lourd qui a été conçu par une de mes clientes.


"Stoppons l'hémorragie. Chez nous, la fatalité n'existe pas. La fraude en caisse est terminé".

Ensuite, l'argumentation permettra de visser chaque porte pour prouver que la société est redoutablement efficace dans sa mission pour stopper les hémorragies invisibles.

 

Conseils : une big idea, c'est un peu comme les petites phrase que l'on retrouve en titre dans les journaux. C'est captivant. A pratiquer avec tact comme une torpille si vous avez trop de concurrents ou si vous manquez de lisibilité (compréhension immédiate) pour vos interlocuteurs.


 


 



 





 




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