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1 avril 2013 1 01 /04 /avril /2013 13:14

ipad

Here the guidelines for the content, lenght, and font of a good pitch.

  • Ten slides
  • Twenty minutes
  • Thirty-point-font text

 

Let one person do the talking.  In a pitch, the CEO should do 80 percent of the talking. The rest of the team can present the one or two slides pertaining to their specific area of expertise. They can also provide detailed answers if any questions arise.

 

J'imagine que je n'ai pas besoin de traduire cette règle fondamentale en français, issue de l'excellent Guy Kawasaki, extrait de son livre The Art of the Start. 

 

  • Il suffit de 10 slides pour dérouler votre présentation. Le but n'est pas d'endormir votre auditoire (ou votre seul client, investisseur, futur associé), mais d'éveiller son enthousiasme pour le captiver et le motiver. Maximum 20 slides au total avec vos images ou annexes.

 

  • 20 minutes suffisent. Car les 40 minutes d'après doivent être consacrées à l'échange. Si vous n'avez pas le temps offert, optez pour un slide/discussion, slide/discussion, slide/discussion.

 

  • Taille de votre police: 30 si vous utilisez un rétroprojecteur. Plus on vieillit, plus on a besoin de voir plus gros. Une idée directrice par slide. Ne tartinez pas votre slide avec du blabla pompeux.

 

 

Maintenant pour approfondir et vous aider à devenir un pro du pitch, voici d'autres conseils. Pour impacter dès les premières secondes, utilisez la technique du BFD : Beliefs, Feelings, Desires de Robert W. Bly, super Copywriter.

 

  • Beliefs: What does your audience believe. What is their attitude toward your product and the problems or issues it addresses?
  • Feelings: How do they feel? Are they confident and brash? Nervous or fearful? What do they feel about the major issues in their lives, businesses, or industries?
  • Desires: What do they want? What are their goals? What did they want in their lives that your product/service/solution can help them achieve?

 

En fonction des réponses que vous aurez obtenu - avec votre acuité psychologique (la majorité des influencers possèdent ce don là), vous serez capable d'angler votre présentation selon les préjugés de votre audience, ses attentes prévisibles et son idéal.

 

 

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1 juin 2012 5 01 /06 /juin /2012 17:06
steve-jobs-present
Steve Jobs était le Tiger Woods de la Com. Une exception rare. Avec plus de 70 000 vidéos sur Youtube à son compte, vous comprendrez comment et pourquoi Steve Jobs est devenu le meilleur vendeur de la planète. Voici les techniques de Steve Jobs, décyptées par Carmine Gallo, un des plus grands coachs américains qui accompagnent les grands patrons onstage.
Lu et approuvé. Ce livre est une pépite.
View more presentations from Carmine Gallo
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6 octobre 2011 4 06 /10 /octobre /2011 01:30

nervous speaker

Communiquer lors d'une réunion est souvent plus facile car votre réputation n'est pas directement impliquée sous les feux de la rampe. En prise de parole devant un auditoire, votre compétence est sous pression. Pour vous aider à ajuster le tir, voici quelques conseils à suivre pour démarrer votre présentation. C'est une compile de l'enseignement Dale Carnegie sur "présenter efficacement" que j'ai suivi dans le passé.

 

D'abord les principes élémentaires.


Pour capter l'attention de votre auditoire et communiquer avec impact :


  • Maintenez un contact visuel avec votre auditoire dès le démarrage
  • Evitez d'avoir le regard planqué sur votre texte ou sur votre pupitre
  • Considérez-vous comme privilégié d'avoir la parole devant l'auditoire et communiquez votre enthousiasme
  • Mentionnez les prénoms et les noms de certaines des personnes présentes
  • Evitez de faire des excuses et de vous dévaloriser 
  • Soyez souriant et détendu, votre public se détendra avec vous
  • Exprimez-vous avec sincérité en ayant recours à vos émotions
  • Démarrez avec un timbre de voix légèrement plus haut que d'habitude car le rythme redescendra sur le socle habituel naturellement par la suite

 

Et ensuite, les différentes façons de démarrer sa présentation. Avec un exemple à l'appui.


  • La déclaration choc

1 personne sur 2 dans la salle sera atteint d'un cancer. Les statistiques sont aussi froides qu'invraisemblables parfois. Pourtant personne ne peut prédire quand cela va vous arriver. 

Introduction d'un discours sur l'intelligence artificielle.


  • La question basée sur un besoin

Si je connaissais une façon d'être riche sans rien faire, vous seriez certainement prêts à m'écouter, n'est-ce pas ?

Introduction d'un discours sur la propagation des idées sur le net.


  • L'enigme

Lorsque vous croisez les bras, lequel est en haut - le droit ou le gauche ?

 Introduction d'un discours consacré aux habitudes et à la difficulté de changer.


  • Le compliment

Je vous félicite tous : 120 % d'augmentation des ventes ! Cela prouve que vous...

Introduction d'un discours d'un directeur des ventes au début d'une réunion d'équipe.


  • L'incident dramatique

Il y a deux mois, à la même heure, je me suis endormi au volant. C'est en milisecondes que j'ai pris conscience de temps qui me restait pour redresser le volant. Si la clarté du danger rend l'action plus précise, à l'inverse quand on est plongé dans une routine trop sécurisante, les réflexes sont endormis. La prise de conscience était-elle un acte de survie ? 

Introduction d'un discours sur la prévention des risques au travail

 

 

Une fois que vous avez capté l'attention du public, il faudra vite préciser le thème ou le message de votre discours. Le but est ensuite d'amplifier l'impact par une série de preuves et de faits illustrants ce que vous avez énoncé avec une émotion authentique plus tôt.

 

L'utilisation de preuves est primodiale à toute présentation réussie. 


- Faire la preuve que "ca marche" !

- Faire part de ses propres expériences ou celles d'autres personnes

- Citer une personne experte

- Utilisez des éléments visuels, carte, graphique, photographie, chiffres clés

- Faire la comparaison avec une autre situation.

 

 

Afin de vous imprégner des différents styles oratoires de démarrage, vous pouvez regarder les vidéos sur le site TED.com. 




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30 septembre 2011 5 30 /09 /septembre /2011 08:44

pearlsbeforepeanuts

Le pitch à l'origine est utilisé par le scénariste pour "vendre son histoire" auprès d'une Société de production, c'est un résumé de son scénario, une note d'intention pour séduire, convaincre. C'est un enjeu décisif car tout se joue dans cette story line en quelques minutes.

 

La formule est aussi une pratique courante pour le journaliste qui doit proposer des idées au Rédacteur en chef. Et une fois validée, le journaliste à son tour, va choisir le bon angle et un titre pour capter l'intérêt des lecteurs.

 

L'attachée de presse utilise également le pitch pour proposer des histoires aux médias. Son talent lui permettra de faire du pitching media pour le compte de ses clients. Et générer ainsi des retombées régulières dans l'année.

 

Dans les affaires, le principe de l'elevator pitch est largement utilisé par le dirigeant dans ses échanges, en entretien ou en relations publiques. En quelques secondes, se différencier sera un signe distinctif très valorisant.

 

Et puis, il y a le story pitching, une nouvelle approche de communication rapide qui permet d'expérimenter justement cette nouvelle capacité  "à se dire" et à "se présenter" en utilisant le scénario unique de sa propre vie.

Cette technique que j'ai développé combine le poids de l'authenticité et le message à faire passer dans un contexte changeant. Il s'agit ainsi d'élargir son champ de liberté à s'exprimer sur soi-même en utilisant des images créatives au sens impactant du terme. Elle s'adresse surtout aux individus qui souhaitent s'ajuster avec leur environnement social, économique, concurrentiel et culturel du moment.

 

De plus en plus reprise par les professionnels, le story pitching résume votre trajectoire en 3 lignes. L'accomplissement de soi traduit dans un pitch d'1 seconde. Consécutivement à cette particularité et en corrélation avec elle, la personnalité du professionnel sera perçue comme une donnée indépendante vis-à-vis de l'environnement social.

 

Comment produire son premier pitch avec autonomie ? Voici de quoi vivre l'expérience.


1. Un bon pitch commence par de la performance.


Il doit être :

- unique dans sa manière de traiter un angle original

- destiné à toucher les émotions

- évocateur pour imaginer l'authenticité de son auteur

- collé à l'ère du temps avec une forte concision

 

En story pitching, si vous êtes amené à vous présenter devant un client influent ou une entreprise capitale pour votre reconversion, il faudra tailler davantage votre discours dans une image globalisante pour instruire votre interlocuteur de votre histoire personnelle avec subtilité.


Il faut donc être précis dans le choix de ses mots, rechercher des balises imagées pour nourrir votre message d'une émotion forte.

 

Exemple de pitch formulé par une personne en mode reconversion : profession libérale en image

"Je me définis un peu comme un archéologue, je dépoussière les pépites des individus grâce au conseil en image et en maquillage. Ca fait plus de 15 ans maintenant que j'exerce ce métier parce qu'être bien dans ses pompes permet aux professionnels de courir sans souffrir."

 

Exemple de pitch formulé par une personne dont le métier est très pointu techniquement : analyste financier

" En gros, je nettoie les vitres de mes clients pour qu'ils puissent faire passer la lumière. Dans la mesure où la compétitivité d'une entreprise passe par un éclairage stratégique des chiffres, mon rôle est donc de lisser les dossiers avec un calcul savant, pour faire gagner mes clients dans la course boursière."

 

Exemple de pitch formulé par une personne dont le métier est saturé de concurrents : éditeur en logiciel

" Quand on peut traverser un fleuve en ferry une dizaine de fois et à la onzième fois, se sentir toujours exalté, et bien je considère ma mission réussie. Rendre le banal plus enthousiasmant pour mes clients en informatique n'est pas seulement passager. C'est mon métier."

 

2. Si le pitch n'est pas authentique, il n'y a pas d'émotion


La narration de votre pitch doit permettre un nouveau regard et une consolidation de vos croyances les plus profondes. Le but est d'établir une correspondance entre l'esprit et le coeur de ceux à qui l'on parle et de donner un sens à vos pensées et les expressions que vous choisissez.

Pour créer un impact sur les autres, les impliquer, les motiver, vous devez connaître l'origine de vos convictions les plus fortes.


"Si vous parlez à quelqu'un dans une langue qu'il comprend, vous toucherez son cerveau. Si vous vous adressez à lui dans sa propre langue, vous atteindrez son coeur." Nelson Mandela.

 

3. Viser la big picture

 

Si vous voulez agir sur ce que les gens vont retenir, racontez votre histoire de façon à ce qu'elle laisse une image forte. Une histoire est juste lorsqu'elle vous coupe le souffle.  

Les leaders ne sont pas obligatoirement des personnes dont l'autobiographie est sensationnelle. Ce qui les distingue, c'est la façon dont ils ont appris à réfléchir et à se servir des leçons de vie.

Il faut donc analyser et développer des points de vue enseignables à partir desquels vous allez inspirer et transformer votre interlocuteur.

 

4. Ouvrez plusieurs box

 

L'histoire de votre vie n'est pas seulement la vôtre, mais celle qui se crée dans l'esprit de ceux qui vous écoutent. Sans les histoires, les métiers sont des concepts arides. Donnez du sens à votre profession en vous décrivant sur le mode individuel. Le "Je" doit ajouter une expérience singulière et une régénérescence de votre métier.



 








 





 



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12 septembre 2011 1 12 /09 /septembre /2011 08:45

presentationpicLa prise de parole des participants est aussi déterminante que celle de l'orateur. Les propos en mode blogging, tweet, facebook peuvent dominer le débat du mauvais côté en laissant des traces si l'intervenant n'a pas suffisamment écouté les participants. C'est la raison pour laquelle donner la parole à son auditoire à la fin de son intervention permet de détecter ou de désamorcer les bombes à retardement pour ceux qui sont déçus du débat. 


Quelle serait la première démarche à entreprendre pour clôturer avec réussite la phase des questions-réponses ?


Dans la pratique, les questions-réponses s'empilent à la fin du discours. Souvent, l'intervenant pose sa phrase comme un maître, "est-ce que vous avez des questions ?". Si vous n'avez pas inclus vos participants dès le début dans votre présentation, les mains levées risquent d'être timides. Impressionné, l'auditoire peut être tenté de ne pas oser une confrontation avec l'expert qui vient de parler 2h. Le silence s'installe et le malaise se crée pour les deux parties. C'est à vous d'inviter les personnes à poser des questions tout au long de votre intervention et non à la clôture. Pour réussir cet exercice, votre personnalité doit être le signal d'une grande ouverture avec ses invités. Le but n'est pas de briller sur scène mais d'éclairer une bienveillance sincère pour son auditoire. Par exemple, s'il y a des retardaires dans la salle qui sont gênés de traverser le rang d'oignons assis, vous pouvez en jouer et les inviter à venir à côté de vous. Vous leur avez gardé la meilleure place ! Plus vous serez détendu, plus vos invités le seront et joueront la proximité avec vous au moment de vous interpeller sur scène.

 

Si les questions affluent, il suffira d'y répondre le plus brièvement possible et de passez à la question suivante tout en gardant la main sur le déroulement de votre timing. Le public n'étant pas "coaché" à poser des questions, il est fréquent qu'il pose une question furtive, suivi d'un commentaire et d'une autre interrogation assassine. A vous, d'inscrire une logique et un ordre dans vos réponses. L'exercice est certes délicat mais si vous suivez votre fil conducteur (mentalement), vous allez réguler le débat avec le tact d'un diplomate et recentrer les bonnes questions en reformulant les avis invisibles qui se forment dans le public.


La règle est de clarifier la question posée, recadrer le sens sous-jacent de la question, reformuler la réponse avec le plus de profondeur, apaiser les contestations avec un sourire ou une entente commune sur un point divergent et passez à la question suivante. Repartez sur un bon pied chaque fois ! Si vous répondez fadement à la compile de questions, vous risquez de vous exposer aux réflexes d'un des participants qui n'aime pas les faibles.


Le public est une personnalité qui aime les gagnants : si vous êtes bon, il vous testera avec bienveillance. Si vous êtes fade, il enfoncera le clou. Aiguisez vos réponses dans l'improvisation. Et restez vous-même le plus possible en contact avec le public. Evitez de vous donner un air d'autorité en redressant le micro. Ne gesticulez pas trop. La manifestation est loin de s'arrêter à la fin de votre exposé. Elle se prolonge dans la webcity...


Astuces : Lorsque tous vos invités sont en effervescence et ont atterri sur leur siège. Surprenez-les ! Vous pouvez proposer de commencer directement par la cocktail et de mettre un film projeté en attendant que l'ambiance soit encore plus conviviale et détendue. Ensuite vous pouvez démarrer. Le lien sera davantage crée avec le public dans les coulisses.

 





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2 septembre 2011 5 02 /09 /septembre /2011 21:47

doigt de dieu MDans un contexte où la vie privée s'intègre de plus en plus étroitement à la vie publique d'aujourd'hui, la frontière entre son identité d'individu et son identité sociale se dissout dans une attitude esthétique. Les réseaux sociaux flirtent avec les réseaux professionnels, comme une couche de vernis. 

 

Cette courtoisie sociale peut s'appliquer tout aussi bien à un processus d'intégration. Dans les deux sens. Se faire-valoir tout en se faisant reconnaître et pris au sérieux. Cet acte moderne constitue un préalable nécessaire pour percevoir le murmure de l'autre. Que l'on soit internaute ou grand patron, l'exercice le plus complet s'affichera spontané dans sa capacité à exprimer l'unicité : synonymes d'authenticité, de naturel, de véracité, d'absence de duplicité. 


La condition sine qua non. Pour être remarqué et remarquable. Un moulage de l'un à l'autre que l'on pratique dans la prise de parole en public. Sans tomber dans la poésie cérébrale et ennuyeuse, j'ai compris par la grâce d'une phrase d'un artiste japonais un précepte intéressant pour rééquilibrer mon métier avec une passion, le verbe oratoire. Mon métier s'est affiné, puis musclé comme un lutteur qui s'adapte à son adversaire. 


"Si tu veux dessiner un oiseau, tu dois devenir oiseau". Ces paroles de Hosukai, célèbre dessinateur m'a été d'une grande inspiration pour accompagner et aligner des personnes dans leur vocation professionnelle. 

La parole devant des collaborateurs n'est pas la même lorsque l'on s'exprime devant un public non défini. En conférence par exemple ou devenir l'invité d'un débat en cercle privé.

Devenir l'oiseau à ce moment là pour des personnes non averti peut s'avérer un stress énorme. J'ai quelques exemples d'échantillons de femmes et d'hommes qui attendaient un cours magistral censé déclencher la transformation. Mais je n'étais pas douée pour la provocation. Il s'agissait pour moi de créer l'envol à partir des travaux de Hosukai : concevoir des techniques holistiques. Celles qui englobent l'humain dans son absence de préjugé. Donc capable de produire des miracles.


Par souci de discrétion, je ne peux pas ici vous faire l'esquisse d'un mode d'emploi générique car chaque blocage est unique. Et chaque déclic dépend du ressenti et de l'histoire personnelle de chacun. En échange donc, je vous mentionnerai des astuces pour vous permettre de modeler votre plumage d'un coup de brosse.


Commençons tout de suite par l'aide à la préparation d'un passage éclair dans les médias.


Pour ceux et celles qui n'ont jamais pris la parole devant un journaliste, le micro-cravate n'est pas le plus éprouvant à mettre en place. Le reste légèrement plus.


Parler avec un journaliste (presse écrite, radio, tv ou web) n'est pas un dialogue ouvert. Il faut d'abord prendre en considération ce qui va l'intéresser. Cet expert saura habilement calibrer son pitch pour vous challenger. Le journaliste n'est pas une personne qui veut vous nuire. Son rôle est de tricoter le meilleur "délivrable" possible pour ses auditeurs ou lecteurs ou spectateurs. Pour que le public trouve sa place.

L'interviewé fait un bon interviewer. C'est donc très bénéfique pour le journaliste que vous soyez concis, limpide et étonnant. Pour préparer votre première intervention, il faudra vite reconquérir vos compétences sur les champs suivants :


- Bien connaître votre mode relationnel et rompre avec vos habitudes


- Après décodage de votre style de communicant, clarifiez votre identité professionnelle. En fonction de votre métier et de votre activité, il y a des angles préférables à manier car il est primordial de prendre en compte les contextes social, économique, politique ainsi que les connaissances et les préjugés du journaliste.  Pour réussir les vingt secondes du début, vous devez lui faire une place pour augmenter l'efficience de message principal à livrer et à faire mémoriser. Le journaliste réagira dès lors qu'il pourra se reconnaître dans ce que vous énoncez. Vous favoriserez sa réceptivité. Un peu comme un jeu d'acteurs. Plus le niveau est bon, plus l'autre devient meilleur.


- La pertinence des mots et la manière originale de présenter votre activité rendront un grand service à votre interlocuteur. Il pourra reprendre en mot ce que vous avez si bien dit. L'aura de votre particularité sera démultipliée. Et votre statut sera amplifié.


- Puisque les interviews dépendent de leur contexte (actualité) du journaliste, il est conseillé d'user d'une stratégie appropriée. Il faudra faire usage d'un appel à des présupposés communs (idée reçue commune, argument universel, des principes évidents) pour éviter le dérapage ou la bourde si vous être confronté à un autre problème comme l'orientation non contrôlée d'une opinion préférable pour le journaliste.


Par exemple, que votre service ou produit n'a rien d'exceptionnel et que vous prédictions sont déjà vu par la concurrence. C'est dans ce genre de scénario qu'il faudra réinscrire les valeurs de votre métier au lieu de rester sur le réel du marché.

 

Il reste enfin à savoir qu'il ne faut pas oublier l'objectif concret visé par un spotlight sur vous par les médias. Ne jouez pas à la vedette. Mais donner à voir (ou à entendre) votre style personnel de communicant.


Gardez à l'esprit qu'en 2 ou 5 minutes, votre personnalité et votre éloquence seront présentées comme l'entièreté du discours. Simplement à la lecture ou au son de votre voix. Image et voix font la paire.

 












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